miércoles, 23 de mayo de 2012

UNA PEQUENA POLÉMICA DE STALIN CON ENGELS



(Maoístas Bolivianos) Con motivo de la aparición de un artículo publicado en Rebelión Org., de autoría de un señor Nicolás González Varela con el título de “Un Marx desconocido. Deutsch Ideologie (VII) Stalin y Marx”, nos permitimos hacer dos publicaciones críticas en torno solamente a un tema que se refiere precisamente a la polémica post-morten de Stalin con Engels, en primer lugar un comentario nuestro que aparece como un capítulo en nuestra obra “Stalin y Trotski”.

A continuación, el articulo original de  Stalin en francés. 

19 juillet 1934.

J. Staline

«A PROPOSE DE L`ARTICLE D´ENGELS,
“LA POLITIQUE ÉTRANGÉRE DU TSARISME RUSSE». (1)


Envoyant aux membres du Bureau Politique l´article d´Engels, “la politique étrangère du tsarismo russe”, je crois nécessaire de le faire précéder des remarques suivantes (2)

Le camarade Adoratski propose de publier dans le prochain numero du Bolchevik, consacré au XX. anniversaire de la guerre impérialiste mondiale, l’article connu d‘Engels “La politique étrangére du tsarisme russe”, publié pour la première fois  à l’etrangére en 1890. J´aurais considéré tout á fait normal que l’on propose de publier cet article dans un recueil des ouvers d`Engels ou bien dans unes des revues historiques. Mais on nous propose de le publier dans notre revue de combat, dans le Bolchevik, dans le numéro consacré au XX anniversaire de la guerre impérialiste mondiale. Donc, on pense que cet article peut être consideré comme un article leader ou, en tout cas, comme un article profondément instructif pour nos militants du Parti afin d’éclair des problémes de l’imperialisme et des guerres impérialistes. Mais comme on le voit d’apres son contenu, malgré ses mérites, l’article d’Engels n’a malheureusement pas ces qualités. Bien plus, il contient une série d’insuffisances qui peuvent embrouiller le lecteur s’il est publié sans remarques critiques.

C’est pourquoi je considérerais inopportun la publication de l’article d’Engels dans le prochain numéro de Bolchevik.

Mais quelles sont ces insuffisances?

1.        Caractérisant la politique de conquête du tsarisme russe et montrant toutes les abominations de cette politique, Engels ne l’explique pas tant par les “beisons” des couches supérieures de militaires, de féodaux, de négociants de Russie d’avoir des issues sur la mer, des ports de mer, d’élargir le commerce extérieur et de posséder des points stratégiques que par le fait qu’a le tête de la politique étrangère de la Russie, il y aurait eu soi-disant une clique toute puissante et très talentueuse d’aventuriers étrangers qui, on ne sait pourquoi, auraient eu de la chance partout et en tout, qui aurait réussi de façon étonnant á surmonter tous les obstacles sur la voie de son objetif d’aventures, qui aurait trompé de façon ètonnamment habile tous les gouvernants européens et qui serait arrivée finalement à faire de la Russie l’Etat le plus puisant du point de vue militaire.

Dans la bouche d’Engels, une telle façon de poser la question peut sembler plus qu’invraisemblable, mais elle est malheureusement un fair.

Voici les passajes correspondants de l’article d’Engels:

«La politique étrangère, dit Engels, est sans aucun doute le domaine dans lequel le tsarisme est très, très fort. La diplomatie russe constitue dans son genre un nouvel ordre des Jésuites, suffisamment puisant pour vaincre, en cas de nécessité, même les caprices tsaristes, et peut, tout  en développant largement la corruption autour d’elle, l’empechêr dans son propre milieu. A su débout, cet ordre recruté surtout parmi des étrangers: des Corses, comme par exemple Pozzo di Borgo, des Allemands, comme Nesselrod, des Allemands des Pays Baltes comme Liven. Sa fondatrice, Catherine II, était également une éxtrangére. Jusqu’à présent, un seul Russe pur sang, Gorchakhov, a occupé un poste supérieur dans cet ordre. Son successeur , Von Guirs, porte déjà á nouveau un nom étranger. Cest cette société secrète, recrutée d’abord parmi des aventuriers étrangers, qui a porté l’Etat russe á sa puissance actuelle. Avec une opiniâtreté de fer, poursuivant avec persévérance le but fixé, ne reculant ni devant la perfidie, ni devant la trahison, ni devant le lâche assassinat, ni devant l’obséquiosité, ne ménageant pas les pots-de-vin, ne se laissant pas grises par les victoires, ne se décourageant pas lors des défaites, pasant par-dessus les millions de cadavres de soldats et au moins par-dessus un cadávre de tsar, cette clique aussi impudente que talentueuse a fair plues que toutes les armes russes pour élargir les frontières de la Russie du Dniepr et de la Dvina au delá de la Vistule vers le Prout, le Danube, vers la mer Noire, du Don et de la Volga au delà du Caucase, vers les sources de l’Amou-Daria et du Syr-Daria. Cèst elle qui a fair la Russie, grande, puissante, redoutable, et qui lui a ouvert la voie de la domination mondiale..»

On peut penser que dans l’histoire de la Russie, dans son histoire extérieure, la diplomatie a été tout et les tsars, les féodaux, les négociants et les autres groupes sociaux rien ou presque rien.

On peut penser que si á la tête de la politique étrangére de la Russie il n`y abatí pase u des avénturiers étrangers du genre de Nesselrod ou de Guirs, mais des aventuriers russes du genre de Gorchakhov et d’autres, la politique étrangére de la Russie aurait suivi une autre voie.

Et je ne parle pas du fair que la politique de conquête, avec tuotes ses abominations et son ordure, ne constituait pas du tout un monopole des tsars russes. Chacun sait que la politique de conquête était également propre á un degré non moindre, si ce n’est pas á un degré supérieur, aux rois et aux diplomates de tous le pais d’Europe, y compris a un empereur de formation bourgeoise come Napoleón qui, malgré son origine non royale, a pratique avec succés dans se politique étrangère les intrigues et les mensonges, la perfidia et la flatterie, les sauvageries et la corruption, les assassinats et les incendies. Il est comprensible quìl ne pouvait pas en éter autrement.

Probablement, dans son pamphlet contre le tsarisme russe (l’article est un bon pamphlet combatif), Engels s’est un peu laisse entrainer et, aprés s’être laissé entrainer, a oublié un instant certaines choses élèmentarires qu’il connaissait bien.

2.         Caractérisant la situation en Europa et dévoilant les causes et les perspectives de la guerre mondiale qui s’approchait, Engels écrit:
«La situation actuelle en Europe est déterminée par trois faits: 1. l’annexion de l’Alsace et la Lorraine par l’Allemagne; 2. L’aspiration de la Russie tsariste vers Constantinople; 3. la lutte entre le prolétariat et la bourgeoisie qui deviene de plus en plus ardente dans tous les pays, lutte dont l’essor universal du  mouvement socialista est le thermomètre. Les deux premiers faits déterminent le partaje actuel de l’Eurpe en deux grands caps militaires. L’annexion de l’Alsace-Lorraine a fair de la France làlliée de la Russie contre l’Allemagne, la menace tsariste contre Constantinopla transforme l’Autriche et même l’Italie en alliens de l’Allemagne. Les deux caps se préparent au combat décisif, à une guerre comme le monde n’en a jamais vu, à une guerre dans laquelle de dix â quinze millios de combattants armés vont se trouver face à face. Deux circonstances seuilement ont empêché jusqu’á présent l’éclatement de cette guerre effrayante: premièrement, le developpement extrêmement rapide de la technique militaire, développement qui fait que chaque nouveau modèle d’arme inventé, avant d`voir pu bêtre introduit, ne serait-ce que dans une seule armée, est dépassé par des nouvelles inventions, et, deuxièment, l’impossibilité absolute de calculer les chances, l’incertitude complète en ce qui concerfne celui qui en fin de compte sortira vainqueur de cette lutte gigantesque. Tout ce danger de guerre mondiale disparaîtra le jour où les affaires en Russie prendront une telle tournure que le peuple russe pourra faire une croix sur la politique traditionnelle de ses tsars et, au lieu de fantaisie de domination mondiale, s’occuper de ses propres intèrêts vitaux à l’intérieur de pays, intérêts qui sont menacés par un danger extrême... L’Assenblée nationale russe qui viudra venir â bout, ne serait-ce que des taches intèrieures les plus urgentes, devra désolument mettre fin à toute aspiration à de nouivelles conquêtes. L’Europe roule avec une rapidité croissante, comme sur une pente vers la gouffre d’une guerre mondiale d’une ampleur et d’une force sans prédédent. Une seule chose peut l’arrêter: le changement de régime en Russie. Il ne fair aucun doute que cela doit se produire dans les années les plus proches… Le tour oú tombera le pouvoir tsariste, cette Dernière forteresse de la réaction européenne, ce tour-la un vent tout à fair différent soufflera sur l’Europa…»

On ne peut manquer de remarquer que dans cette caracterustique de la situation en Europa que dans cette énumération des causes qui conduisentà la guerre mondiale, un facteur important a été omis, qui a joué ensuite le rôle décisif, précisément la lutte impérialiste por les colonies, pour les marchés d’écoulement, pour les sources de matières premières, facteur qui abatí dèjá alors une très sérieuse importante; il a été omis le rôle de la Grande-Bretagne comme facteur de la prochaine guerre mondiale, les contradictions entre l’Allemagne et la Grande-Bretagne, contradictions qui avaient déjà alors une importante sériuse et qui ont joué ensuite presque le rôle déterminant dans le déclenchement et le dévoloppement de la guerre mondiale.

Je pense que cette omisión constitue l’insuffisance principale de l’article d’Engels.

De cette insuffisance découlent les outres, parmi lesquelles il serait bien de remarquer les suivantes:

a) Surestimation du rôle de l’aspiraction de la Russie tsariste vers Constantinople dans le mûrissement de la guerre mondiale. Il est vrai qu’au début, Engels met l’annexion de l’Alsace-Lorraine par Allemagne à la première place en tant que facteur de guerre, mais ensuite, il fair passer ce facteur à l’arrière-plan et met au premier plan les aspirations à la conquête du tsarisme russe en affirmant que “tout ce danger de guerre mondiale disparaîtra le jour oú les affaires en Russie prendront une telle tournure que le peuple russe pourra mettre une croix sur la traditionnelle politique de conquête de ses tsars”. C’est évidenment une exagération.
b) Surestimation du rôle de la révolution bourgeoise en Russie, du rôle de “l’Assemblée nationale russe” (parlement bourgeois) pour empêcher la guerre mondiale qui approchait. Engels affirme que la chute du tsarisme russe est le seul moyen d’empêcher la guerre mondiale. Cest une exagération évidente. Le nouveau régime bourgeois en Russie avec son “Assemblée nationale” n’aurait pas pu empêcher la guerre, ne serait-ce que pour la seule raison que les ressorts Essentials de la guerra étaient contenus dans la lutte impérialiste entre les principales pauissances impérialistes. C’est que depuis la défaite de la Russie en Crimée (années 50 du siècle passé), le rôle indépendant du tsarisme dans le domaine de la politique extérieure de l’Europe avait commencé à diminuir de façon considérable et qu’au moment qui a précédé la guerre impèrialiste mondiale, la Russie tsariste jouait quant au fond le rôle d’une réserve secondaire pour les principales puissances de l’Europe.
c) Surestimation du rôle du pouvoir tsariste, en tant que “dernière forteresse de la réaction européenne” (paroles d’Engels). Il ne peut faire aucun doute que le pouvoir tsariste en Russie était une paussante forteresse de la réaction européenne (et aussi asiatique).Mais on peut douter qu’elle aité té la dernière forteresse de cette réaction.

Il faut remarquer que ces insuffisances de l’article d’Engels ne présentent pas seulement une “valeur historique”. Elles ont ou elles devaint avoir une importance pratique encore plus grande. En effet: si l’on perd de vue la lutte impérialiste pour les colonies et les sphères d’influence en tant que facteur de la guerre mondiale qui s’approchait, si l’on perd de vue les contradictions impérialistes entre la Grande-Bretagne et l’Allemagne, si l’on fair passer á l’arriere-plan l’annexion de l’Alsace-Lorraine par l’Allemagne en tant que facteur de guerre pour mettre au premier plan l’aspiration du tsarisme russe vers Constantinople comme facteur plus important et même comme facteur déterminant de la guerre, si en fin le tsarisme russe constitue le dernier rempart de la reaction europeenne, n’est-il pas clair que la guerre, disons la guerre de l’Allemagne bourgeoise contre la Russie tsariste, n’est plus une guerre impérialiste de pillage, n’est plus une guerre anti-pòpulaire, mais une guerre libératrice, ou presque libératrice?

On peut à peine douter qu’une telle façon de penser ait pu faciliter la chute de la social-démocratie allemande le 4 août 1914 lorsqu’elle a décidé de voter les credits de guerre et qu’elle a lancé lo mot d’oudre de défense de la patrie bourgeoise contre la Russie tsariste, contre la “barbarie russe”, etc.

Il est caractéristique que dans ses lettres à Bebel écrites en 1891 (un an après la publication de l’article d’Engels) où il est quetion des perspectives de la guerre qui s’avance, Engels dise directement que “la victorie de l’Allemagne est donc la victoire de la revolution”, que “si la Russie commence la guerre, en avant contre les Russes et leurs alliés, quels qu’ils soient!” (3)

Il est comprensible qu’avec une telle façon de penser il ne reste pas de place pour le dèfaitisme révolutionnaire, pour la politique léniniste de transformation de la guerre impérialiste en guerre civile.

Voilá ce qu’il en est de l’insuffisance de l’article d’Engels.

Probablement, Engels, inquiet de l’alliance franco-russe qui se formait alors (1890-1891) et qui dirigeait sa pointe contre la coalition austro.allemande, séétait fixé pour  d’attaquer dans son article la politique extérieure du tsarisme russe et de la priver de toute confiance aux yeux  de l’opinion publique d’Europe, et avant de Grande-Bretagne, mais en cherchant à atteindre cet objetif il a omis une série d’autres facteurs très importants et même déterminants …d’où le caractère unilateral de son article.

Est-ce qu’il vaut la peine, après tout ce qui vient d’être dit, de publier l’article d’Engels dans notre organe de combat, dans le Bolchevik, en tant qu’article leader ou, en tout cas, en tant qu’article profondément instructif….: car il est clair que le publier dans le Bolchevik, cést précisément lui donner tacitement une telle recommandation? Je pense que ce pas la peine.

Oeuvres, t. XIV, NBE, pp. 13-19.

NOTES

(1) Engels (Fr.), “Die auswartige Politik des russischen Zarentums”, Neue Zeit, mai 1890, Marx-Engels Werke, Dietz, Berlin, 1974, t. 22, p. 11-48. (N. Ed.)
(2) Lettre de J.V. Staline du 19 juillet 1934 envoyée aux membres du BP du CC du PC(b)US. (N. Ed.)
(3) Dans les fragments des ces lettres publiées jusqu’à maintenant en langue française ces extraits ne figurent pas. Cf. MEW. (N. Ed.)
 
UNA PEQUENA POLÉMICA DE STALIN CON ENGELS
 EL ARTÍCULO DE ENGELS EN CARTA A BEBEL

El 19 de julio de 1934, José Stalin escribe un artículo denominado: «A propósito de "La política extranjera del zarismo ruso" de Fredrik Engels» (42), en el cual critica el opúsculo de Engels e insta al camarada Adoratski a no publicar el artículo engelsiano en la revista Bolchevik consagrado al 20 aniversario de la Primera Guerra Imperialista Mundial.  Stalin considera "inoportuna" dicha publicación por  las insuficiencias que presentaba el artículo; esas insuficiencias, según Stalin, serían las siguientes:

1.          Engels anatemiza la política de conquista del zarismo ruso mostrando su carácter abominable y mostrando como elementos extranjeros manejan dicha política. Criticando el párrafo Stalin dice que efectivamente esa política es abominable, pero que no es exclusiva del zarismo ni mucho menos y que todas las monarquías europeas participan de dicha política, lo cual naturalmente es evidente.

2.          La caracterización de Engels de la situación en Europa de la época, es igualmente insuficiente porque se limita a señalar como causas de peligro de guerra mundial: a) La anexión de Alsacia y Lorena a Alemania; b) la aspiración de Rusia a ocupar Constantinopla; y c) la lucha entre el proletariado y la burguesía en Europa. Stalin sostiene que los peligros de una guerra mundial no son solamente los señalados por Engels y que el más importante es la lucha imperialista contra las colonias por conquistar mercados y materias primas, en la cual  las contradicciones entre Gran Bretaña y Alemania juegan un rol principal. Stalin piensa que ésta es una insuficiencia muy grande.

3.          Otras insuficiencias constituyen la sobreestimación de la aspiración rusa a conquistar Constantinopla; la sobreestimación del rol que juega el poder  zarista en tanto fortaleza de la reacción europea; exagerar en torno a considerar a la Asamblea Nacional Rusa y su gobierno como la fuente principal de provocación de una guerra mundial, dejando de lado el real peligro de las potencias coloniales occidentales.

4.           Finalmente Stalin critica la siguiente cita de Engels: «La victoria de Alemania es, entonces, la victoria de la revolución, si Rusia comienza la guerra, adelante contra Rusia y sus aliados, sean los que sean». (43)

La historia ya vivida da plena razón a Stalin frente a Engels (sin que esto signifique ataque al maestro), pues la primera guerra mundial se desató precisamente por las contradicciones inter-imperialistas a las que hace referencia Stalin en su artículo, más concretamente entre la alianza Gran Bretaña-Francia que apoyaban a Serbia contra Alemania, el imperio Austro-Húngaro y Turquía. Rusia Zarista tomó partido por la alianza occidental pero claramente en una condición subordinada, saliendo del conflicto precisamente por la Revolución de Octubre.

El artículo nos muestra de un modo absolutamente claro que las insuficiencias y defectos de la visión de Engels sobre los problemas nacionales y coloniales, fueron ya visualizados por Stalin y solamente por Stalin, pues no conocemos critica alguna a esas posiciones incorrectas de Engels de parte de los numerosos adversarios y enemigos de Stalin en nombre de un "marxismo" totalmente falso.

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Nota. El señor González Varela califica el artículo de Stalin como grosero, atrevido dado el prestigio de Engels e impertinente, considere el lector si dicho artículo, después de conocerlo, pues lo publicamos en francés  a continuación,  es ofensivo por un lado, y por otro, quién tiene la razón: ¿Engels o Stalin?

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